Hier, j’ai commencé le troisième roman : Le Vase où meurt cette verveine de Frédérique Martin. J’ai profité de la salle d’attente de l’orthophoniste d’Eliot pour avancer ma lecture, et suis parvenue à tourner quelques pages avant de m’endormir hier soir.
Ce matin, comme nous sommes mercredi, pas de réveil et donc un début de lecture plus tardif et assez vite interrompu par la nécessité de m’occuper de mes loupiots. Cependant, me voilà déjà à un peu plus de la moitié du roman. Comme vous l’avez remarqué, j’ai toujours pris soin de diviser mes lectures en deux, une première partie, correspondant à la moitié du livre, le matin, et la deuxième partie, l’après-midi. J’espère y parvenir aujourd’hui encore.
Dans ce roman, encore une histoire de septuagénaires, ce qui me contraint à formuler quelques comparaisons avec le roman de Caroline Vermalle. Je suis moins sensible à ce roman-ci. Les personnages de Zika et Joseph me perturbent un peu, je ne ressens pas beaucoup d’empathie, du coup ma lecture est un peu laborieuse.
A suivre…