Depuis ce week-end, je suis donc plongée dans le roman d’Anne Brontë, La Recluse de Wildfell Hall. Très vite l’histoire m’a saisie, les personnages, le mystère ambiant autour de Helen Graham, tout est fait pour me plaire, jusqu’au style, et je me sens renaître, je renoue avec de vraies joies de lectrice, comme au temps où j’enchaînais les romans de Wilkie Collins.
Je n’ai cependant pas tellement avancé, car j’ai consacré mon dimanche à un autre livre que je souhaitais lire depuis que je l’ai découvert cet été.
Mon marque-page avance donc doucement, d’autant que je n’ai pas utilisé mon heure supplémentaire du matin aujourd’hui, l’ayant consacrée à l’écriture d’un billet sur le blog de lecture. A peine donc une centaine de pages tournées, mais l’envie de lire décuplée.
Dimanche après-midi donc, je me suis réfugiée dans ma chambre pour enfin ouvrir et finalement lire dans son intégralité un ouvrage très illustré sur Marilyn Monroe. En un peu plus de 250 pages, ce livre propose une biographie rapide, allant à l’essentiel, de l’actrice. J’en parlerai plus longuement sur mon blog demain :
Ma décision de lire le roman d’Anne Brontë risque cependant d’être contrecarrée par une lecture commune prévue entre Lili Galipette, Miss Bouquinaix et moi pour le 21. Pour ce mois-ci nous avions choisi Fille Noire, Fille Blanche de Joyce Carol Oates. Ce roman est dans ma PAL depuis longtemps, mais ne fait pas partie de ma PAL Noire. J’avoue que je n’ai pas bien envie d’abandonner Helen et Gilbert, il est donc fort probable que je mène ces deux lectures en parallèle, l’une le matin, l’autre le soir et éventuellement l’après-midi selon ma disponibilité.