Mardi 28 Septembre 2010

8h05

L’énigme du roman naufragé semble être résolue… il semblerait que ce soit un livre envoyé dans le contexte de la chaîne de livres inaugurée par Hérisson !! L’expéditeur aurait voulu me faire une petite blague ! et, force est de constater, qu’il y est parvenu ! Mais cela ne change rien sur mon peu d’enthousiasme à lire ce roman….

Je n’en ai pas tout à fait fini avec Mrs Dalloway… je m’y attendais un peu en commençant Les Heures, mais je constate que tout le roman de Michael Cunningham reprend le schéma narratif du roman de Virginia Woolf à travers trois personnages : Virginia Woolf, elle-même ; Clarissa Vaughan, surnommée Mrs Dalloway et Laura Brown qui lit Mrs Dalloway (et visiblement elle a moins de difficulté que moi à rentrer dans ce roman!!) … Cunningham cite alors plusieurs pages du roman de Woolf… Plus accessible que la prose de Woolf, le roman de Cunningham reste agréable à lire, et j’ai aimé ces quelques lignes sur la lecture :

« Elle a su qu’elle aurait du mal à avoir confiance en elle, chez elle, dans les pièces de sa maison, et lorsqu’elle a regardé ce nouveau livre sur sa table de chevet, posé sur celui qu’elle avait terminé la veille au soir, elle a tendu machinalement la main vers lui, comme si la lecture était la première obligation du jour, unique et évidente, le seul moyen viable de surmonter le passage du sommeil aux tâches obligées. » (p.44)

Je me suis retrouvée un peu dans cette phrase, même si je n’ai pas la nature dépressive de Mrs Brown… pourtant cette lecture du matin, je la vis un peu comme cela aussi.

9h25

Le roman d’Isabelle Monnin poursuit sa progression sur les blogs de lecture. Tous les jours ou presque un nouveau billet sur ce roman magnifique mais au sujet bien difficile et qui en dissuade plus d’un, malheureusement, même si je peux comprendre cela très bien. Certains sujets de roman nous effraient, nous tiennent à l’écart… je me souviens mon incapacité à lire L’Eté chagrin… alors pourquoi suis-je parvenue à lire le roman de Monnin ? A-t-on plus de mal à lire ce que l’on craint que ce que l’on peut avoir vécu? Comme dans les films à suspens, on frémit en attendant l’arrivée du tueur, bien plus que quand le tueur apparaît… Le sujet de la déportation est pour moi insupportable, et pourtant personne dans ma famille n’a vécu ce drame… mais lire ou voir des films sur ce sujet me mène à la limite du malaise…

Tout a commencé avec la lecture du Journal d’Anne Frank, une lecture initiatique sans doute, une de ces lectures qui a conditionné la lectrice que je suis aujourd’hui… peut-être parce que quand je l’ai lu j’avais à peu de chose près l’âge d’Anne, peut-être aussi parce que mon prénom composé inclut celui de cette petite fille, peut-être parce que moi aussi je tenais un journal… quoiqu’il en soit, si la lecture peut être un exutoire, elle nous met aussi devant nos peurs les plus profondes.

11h45

Je viens de lire un billet très intéressant sur le blog de Guy Birenbaum. Il part d’une réponse du philosophe Raphaël Enthoven à la question suivante : « Vous n’avez pas de blog. Vous méfiez-vous d’internet? »… Comme Guy Birenbaum, je m’étonne de cette méconnaissance d’internet et  des blogs en particulier, par nos intellectuels? Je me suis déjà fait cette réflexion en lisant hier l’entretien de Nothomb par Géraldine. Amélie Nothomb dit : « Je n’y connais absolument rien à internet »… mais cependant elle a l’intelligence de ne pas critiquer ce qu’elle ne connaît pas. Avec la réponse de Enthoven, on est dans la critique, non des blogs, mais de ce qu’il croit être des blogs. Il parle de « journal intime », or c’est méconnaître totalement ce que Guy Birenbaum appelle ce « Continent » que représente la multitude de blogs que l’on peut trouver sur internet ! Alors oui, il y a à boire et à manger sur ce fameux Continent, mais ce mépris, et cette façon de voir le blogueur (comme le souligne Birenbaum, Enthoven méconnaît encore davantage les blogueuses) comme « un homme qui vit sa solitude comme une séparation, une déchirure », alors même que les échanges, les amitiés qui se nouent entre blogueurs ET blogueuses sont si nombreux. Quel dommage que ce manque de curiosité et d’ouverture pour un philosophe !

En parlant d’amitié liée aux blogs, j’ai eu le plaisir de recevoir un coup de téléphone de Franso… voilà la concrétisation de ce type d’amitié qui peut naître à travers les blogs. Une amitié réelle et fascinante.

15h30

Je m’étais installée pour lire une petite heure, mais irrémédiablement je m’endors… c’est terrible d’être ainsi saisie par un alanguissement invincible alors même que je me réjouissais de cette heure de lecture qui s’offrait à moi… malgré ma dose de café et de thé, rien n’y fait…

19H20

Les lectures communes sont l’un des bonheurs des blogs de lecture. Nous avons toutes, ou presque, une PAL (Pile à Lire) qui dépasse l’entendement du simple mortel. C’est quelque chose qui m’a fasciné quand j’ai découvert les blogs de lecture : des centaines de livres achetés en attente d’être lus… et le désespoir de toute blogueuse-lectrice qui se respecte et bien sûr de ne pas parvenir à faire baisser sa PAL… tout est bon donc pour résoudre ce dilemme existentiel : les challenges ; les défis et… les lectures communes… généralement la PAL est ouverte à tous, ce qui permet de comparer… quand on constate que nous avons les mêmes livres on s’accorde sur un date de publication de notre avis, et on décide donc de lire ensemble le livre en commun… Nos avis étant publiés le même jour avec les liens des autres participants, cela permet d’avoir un aperçu assez intéressant des différents sentiments, réflexions, avis et donc de voir comment une telle a adoré tandis que l’autre est totalement passée à côté (j’en ai fait l’expérience cet été avec L’Amour est à la lettre A). Le problème est que quand on a une PAL de presque 300 romans en attente, comme c’est malheureusement mon cas, il se trouve que nombreuses sont les blogueuses qui se retrouvent avec les mêmes livres que moi… du coup, je suis over-bookée lecture commune jusqu’au 30 janvier 2011 …  pure folie, mais ma satisfaction est de me dire que ma PAL va s’alléger de quelques tomes….

39 réflexions au sujet de « Mardi 28 Septembre 2010 »

  1. Je me souviens l’avoir lu il y a près de 10 ans maintenant… 2002, j’étais à la maison, en « année sabbatique » entre le bac et l’école d’AS, et je me souviens avoir été embarquée par ce livre sans comprendre ce qu’il m’arrivait… J’espère qu’il te procurera autant de bonheur que j’en ai eu à sa lecture…

  2. j’ai lu Les heures… et me suis mortellement ennuyée!
    Oui, certains sujets sont très durs à lire, parfois même quand on n’a pas vécu la situation décrite. C’est comme ça. Peut-être y a t’il quelque chose derrière, dans l’inconscient. Va savoir…

    • Ah ben zut alors… si j’enchaîne deux livres épuisants à lire, je sens que je vais faiblir !!!
      Oui sans doute notre inconscient y est-il pour quelque chose !!! Allo, Mr Freud ???

  3. J’ai lu en effet sur la blosphère de très bons avis sur le roman d’Isabelle Monnin mais j’avoue que le sujet ne me dit rien( à tort peut-être ?!). Je pense qu’il y a des moments pour lire certains livres et là pour moi c’est pas le moment. Et là non mais peut-être en poche plus tard. Moi j’ai jamais réussi à te tenir un journal parce qu’il ne m’arrive jamais rien…sinon faut écrire des pensées intimes…hum…c’est plus facile de se cacher derrière de la fiction je trouve. Moi Anne Franck je ne vois pas ça comme un journal mais un témoignage pour les générations suivantes.

    • Je suis aussi persuadée qu’un livre n’arrive pas forcément au bon moment, et que parfois le lire plus tard nous en donne une vision totalement différente.
      J’ai tenu un journal pendant plus de dix ans, de façon assez régulière, dans différents cahiers, et oui c’était intime… ici c’est un journal de lectrice, c’est autre chose, et comme les livres vont et viennent sans cesse chez moi, il y a matière !!! 😉

  4. Je trouve enfin le temps de te laisser un petit mot sur ton nouveau blog, tout beau, tout neuf… Et quelle bonne idée George, je serais une de tes lectrices assidues (lui aussi est dans mes favoris mais tout en bas, je n’arrive pas à classer mes favoris par ordre alphabétique, snif…) Il y a matière à partage ici, peut-être encore plus que sur ton autre blog… En tout cas j’applaudie ton idée et me réjouis de lire ton quotidien de lectrice. J’ai pris le temps de tout lire depuis le début bien sûr et je peux te dire que j’ai eu les mêmes difficultés pour la lecture de Mrs Dalloway… Mais comme toi je reconnais son style magnifique… Pour moi une lecture qui s’apprécie plus par petits bouts (un peu comme le Bernard Giraudeau qui me cause tant de problèmes…) Et tu sais que je me sens irrémédiablement attirée par la lecture des « vies extraordinaires d’Eugèe »… J’étais persuadé que je me tiendrais aussi loin que possible de ce livre mais depuis ton billet je me sens attirée toujours plus fort par lui… Je pense que tu as bien raison sur ce sens; les sujets prochent de nous nous effraient mais nous attire aussi… Peut-être une envie de compréhension (mais bien sûr il ne peut en avoir aucune), une envie de retrouver, d’une certaine façon, dans Eugène ce frère que j’ai perdue… (en réalité j’aurais du avoir deux frères, mais pour le deuxième c’est une autre histoire… ) Nous n’aurons jamais assez d’une vie pour venir au bout de nos manques et de nos tristesses… Qu’en penses tu George ? Je t’embrasse et te dis à très bientôt (ah la la comment vais je faire pour suivre tout ce que tu écris, le temps me manque déjà comme ça…)

    • Je suis contente que tu aies trouvé la porte de ce blog ! oui, il semble que ce blog entraîne plus de partage et de réflexions que le blog de lecture, ce à quoi je ne m’attendais pas du tout !
      Concernant « Eugène », voilà ce que l’on peut faire, je peux t’envoyer le livre, et tu le lis quand tu veux… si vraiment tu ne peux pas tu me le renvoies et puis c’est tout ! au moins tu verras ce qu’il en est. J’ai l’impression que ce livre est devenu pour toi quelque chose d’important qui, finalement le dépasse un peu. Alors oui effectivement il n’est pas facile mais en même temps pour résoudre ses incompréhensions, pour tenter de comprendre il faut parfois les affronter et cela peut passer par un roman… j’ai l’air de faire la sur de moi, mais tu sais que la décision de lire ce livre fut aussi difficile à prendre pour moi, mais finalement je l’ai trouvé beaucoup moins difficile que je me l’étais imaginé ! Dis moi ce que tu en penses !
      Je crois que j’ai un tempérament qui fait que je me relève toujours, oui je me relève mais sans être jamais la même qu’avant… c’est vrai que nous « n’aurons jamais assez d’une vie pur venir au but de nos manques et de nos tristesses », et pourtant je ne suis pas sûre de vouloir en venir à bout, conserver cette mélancolie, ce manque et cette tristesse c’est aussi conserver le souvenir, même si cela est douloureux !
      Je t’embrasse tendrement

  5. Comme toi le sujet de la déportation, cette période sont très pénibles à lire ou à voir, je n’ai donc jamais voulu lire « Le Journal d’Anne Franck » et ne me suis toujours pas remise de notre passage au mois d’août dans un petit village de Savoie où une dame âgée nous a raconté les horreurs commises par les soldats allemands, alors qu’elle n’avait que 5 ans.

    Quant aux journaux intimes, toute mon enfance et mon adolescence! ^^ Il y a même une époque où je l’écrivais à la plume et à l’encre noire, quel délice! Puis j’ai arrêté, au moment de la fac et ensuite quand j’ai rencontré mon homme… c’est étrange d’ailleurs, le journal intime substitut à l’histoire d’amour? À creuser… ^^’

    • Nous avons visité le musée de la résistance dans le Vercors, on est sorti de là totalement épuisés mon homme et moi !
      POur les journaux intimes, moi aussi j’ai arrêté au moment où je me suis mis en couple, même si parfois j’ai gratouillé quelques carnets en secrets !!!

      • Oui mais c’était tellement différent d’un musée… ce qui fais que j’y pense encore c’est que c’était et est encore un tout petit village (254 habitants) et que cette dame y était, enfant! Elle a vécu le jour où les Allemands ont incendié une partie du village et le jour où ils ont exécutés, sommairement, le maire et des jeunes, soupçonnés de résistance! Elle était là, tous les villageois avaient été réunis, de force, sur la place de l’église.

        Le plus émouvant c’est que ce village étant tout petit, elle nous a montré, en nous racontant ces évènements terribles, la maison où telle chose s’est passée, le bout de rue où un autre s’est rendu, la haie par dessus laquelle un telle a sauté avant de se faire abattre, etc. Elle nous a parlé de ces jeunes, leur âge, le râle de douleur étouffée du père de deux d’entre eux quand on leur a tiré dessus, etc.

        Bref, j’en avais les larmes aux yeux, elle, très forte, nous racontait ça avec beaucoup d’émotion mais aussi avec le fameux « devoir de mémoire » qu’elle-même trouve bien important. D’ailleurs, elle est devenue, adulte, enseignante, ce qui ne me surprend pas du tout, cela correspond tout à fait à la dame que nous avons rencontré, par hasard, dans une des rues de ce village.

        Voilà, tout cela pour dire, qu’un film, un documentaire, un musée c’est très dur mais être sur les lieux mêmes avec quelqu’un l’ayant vécu, c’est quelque chose de vraiment bouleversant et marquant!

        • je comprends mieux l’émotion que tu as dû ressentir, mais crois-moi le musée de la résistance est aussi impressionnant et notamment toutes les photos de ces jeunes hommes, dont la majorité avait à peine une vingtaine d’années. Ce musée est dans un petit village du Vercors pas très loin de Grenoble, on est donc sur les lieux mêmes de la tragédie, mais bien sûr cela n’a rien avoir avec récit d’une survivante !

  6. Dans mes mots pour toi ci-dessus j’avais oublié de dire que je trouve intéressant de découvrir la lectrice que tu es! Par exemple, à part quand je suis malade et alitée (ce qui est rare), je ne lis jamais au réveil ^^, c’est étrange mais je n’y ai même jamais pensé alors que le soir, quel délice! 🙂 Et ton colocataire de lit, il apprécie que tu allumes pour lire lors des froids et sombres matins d’hiver? ;p

    Et puis ce Enthoven, il n’a vraiment rien compris, pfff!

    • ah bon ???? moi je lis principalement le matin, rarement la journée sauf quand je suis en vacances ou qu’il faut beau et que je profite du jardin, mais je commence à m’y mettre … et non Dieu merci j’ai un homme qui me fiche une paix royale le matin, rien ne le dérange à peine ses 3 réveils, c’est dire !!! je ne sais pas comment j’aurais fait sinon, je crois que je l’aurais quitté … 😉
      Quant à Ethoven, pauvre homme !!! et piètre philosophe !

      • Trois réveils??? Et bien il y en a qui ont le sommeil lourd lol
        Il faut dire que depuis petite, une fois réveillée j’ai toujours aimé me lever assez vite, quand je suis réveillée je suis réveillée… et donc levée ^^
        Moi non plus en journée je lis peu… ce que j’apprécie et que je fais beaucoup ces jours-ci, les soirées sans films : coucher les enfants puis direction le lit avec un bon livre 😀

        • le problème est que j’ai fortement tendance à m’endormir le soir, même si je me couche tôt 😉 … donc le matin je prends mon petit déj dans mon lit et je lis…

  7. Bon je réponds ici car ton blog veut limiter nos réponses 😉 Le musée, celui de Vassieux, il faudra peut-être que nous y allions, si je m’en sens le courage! Pour l’âge des jeunes hommes, comme dans le village, moins de 20 ans…

    Quant à ton envie irrépressible de dormir je comprends. Moi je ne peux ni lire ni regarder un film aux alentours de 14 heures, c’est souvent l’ heure fatale ^^ Alors bonne sieste! 🙂

    • Oui c’est ça c’est à Vassieux !!
      Mais elle est faite ma sieste, les vingt bonnes minutes de récup, sauf, que si je ne m’étais pas remuée je dormirais encore c’est terrible !!!

  8. Je suis à l’inverse de toi : la lecture du journal d’Anne Franck (dont je partage aussi la moitié du prénom ! ;)) a éveillé en moi une curiosité étrange que j’ai beaucoup de mal à m’expliquer sur cette période… Peut être parce que je l’ai lu lorsque j’ai visité sa maison à Amsterdam, lorsque j’étais au collège… En tout cas, depuis, et de plus en plus, je suis avide de livres qui m’aident à comprendre cette sombre période de l’histoire du monde… Tant à travers des polars comme ceux de Philip Kerr qu’à travers d’autres livres… Mais ce week-end encore, sur les 9 romans que j’ai acheté, 3 évoquent la seconde guerre mondiale…

    Sinon, veinarde, profite de pouvoir faire la sieste… Au bureau, c’est moins confortable ! :p

    • C’est ce qui fait la richesse de la littérature… mais je crois que je supporte de moins ce sujet depuis que j’ai des enfants… je m’identifie trop !
      Et pour la sieste.. c’est rageant quand même de s’installer pour lire, d’en avoir le temps et de s’endormir et pourtant ce n’est pas faute de prendre de la vitamine C !!! enfin tant pis, demain c’est mercredi, je vais me rattraper !

  9. Ah… les petites siestes de l’après-midi, au calme…. Je viens de recevoir « Les Heures » ! J’en ai tellement entendu parler qu’il me le fallait absolument ! Hâte d’en commencer le récit et de replonger dans le monde Clarissa Dalloway !

  10. Le mystère est enfin résolu! Alors c’est ça une lecture commune o_o

    C’est vrai que ce doit être stimulant et agréable de faire baisser sa PAL à plusieurs! Bonne soirée et à demain dans ton journal 😉

  11. Je m’étais promis de venir te lire chaque matin, mais voilà mes promesses s’envolent facilement, écrasées par toutes ces choses à faire par nécessité plutôt que par plaisir mais bon, le manque de temps m’oblige à faire bref et à n’aller qu’à l’essentiel, ce qui n’est peut-être pas plus mal! 🙂 Dans tout ce que tu écris, je te comprends et me reconnais presque à 100 pour 100 .
    Hier, je crois, j’ai passé beaucoup de temps, de liens en liens sur Birenbaum et Enthoven. Je me promettais d’écrire un billet à ce propos mais finalement, je trouve que ça n’en vaut pas la peine tant l’attitude de ce philosophe me déplaît… Je risquerais d’être trop violente!

  12. Bien d’accord! Mais je m’embrouille dans mes réponses! J’aurais dû écrire ce billet à la date d’aujourd’hui puisqu’aussi bien j’avais tout lu en remontant! Je vais apprendre à mieux me repérer!

    • ce n’est pas trop compliqué tu sais, chaque jour un billet qui s’écrit au fil de la journée avec les heures d’écriture ! mais viens quand tu veux, écris où tu veux, je saurais te trouver ! 😉

  13. Beaucoup de choses à dire sur ce billet!
    La citation est magnifique et renvoie forcément à notre quotidien lorsque nous sommes passionnées de lecture.
    As-tu vu l’adaptation cinématographique The Hours? Je suis désolée si tu as abordé le sujet dans les commentaires.J’avous avoir une lecture assidue des billets mais parfois succincte des commentaires qui me précèdent.;)

    • je l’ai vu à sa sortie et vais le revoir le 16 octobre dans le contexte du Club de lecture auquel j’appartiens ! 🙂

Un petit mot sera le bienvenu