Vendredi 26 Octobre 2012 – 18h47

Comment George se révèle être une vraie girouette …

Hier, tout semblait arrêté, mais c’était sans compter l’arrivée inopinée de ça :

Du coup, je vais modifier un peu ma PAL vacances. Home de Toni Morrison étant un roman court, il va venir prendre sa place dans ma valise. Je préfère laisser en attente le Rowling qui est une vraie brique, quant au roman de Djian, j’ai envie de trouver un temps propice pour le lire, envie de m’y plonger sérieusement, si je puis dire.

Mais un autre imprévu est venu s’immiscer dans mon beau programme. Mon amie, Miss Bouquinaix, ayant été embauchée récemment dans MA bibliothèque municipale – heureuse coïncidence – je suis allée lui faire un petit coucou cette après-midi puisque je devais également rendre quelques livres empruntés. J’ai raisonnablement reposé Automne de Philippe Delerm – je suis même en train de me dire que je l’avais peut-être acheté d’ailleurs – j’ai aussi résisté à l’envie d’emprunter Caresser le velours de Sarah Waters… Mais c’est au rayon jeunesse que les choses ont soudain basculé !

Alors, je vous explique. Le roman Rose de Holly Webb, tome 1, était prévu puisque je l’avais réservé, mais la biblio ne m’avait pas téléphoné pour m’avertir que le roman était rentré. En le découvrant sagement rangé, je l’ai donc pris. Les 13 vies et demi du capitaine Ours Bleu m’a été conseillé par cette perfide Miss Bouquinaix. Je compte lire quelques pages aux enfants pendant les vacances, cela pourra être rigolo.

Donc, si on résume, j’emporte trois livres supplémentaires dans mes bagages… On y croit !!!!!

Jeudi 25 Octobre 2012 – 15h30

Où en sont mes lectures ?

J’ai commencé hier après-midi Le Monde infernal de Branwell Brontë de la grand Daphné du Maurier. Une étude, selon le terme employé par l’auteure, qui relate la vie terrible du frère des célèbres soeurs Brontë. Je n’en suis pour l’instant qu’au commencement, j’ai un peu mal à y entrer totalement.

Cette après-midi, j’ai lu, alors que rien ne semblait le présager, un très court roman épistolaire : Inconnu à cette adresse de Katherine Kressman Taylor, sur une amitié entre Max, de religion juive et Martin, de nationalité allemande, en 1932. Ce court roman lu en moins d’une heure m’a alors donné une idée.

Samedi, je m’absente pour une semaine de vacances familiales en Bretagne, or très souvent dans ce contexte de promenades, d’excursions, de vie en plein air, le temps de lecture devient quasi inexistant. Ne perdant pas de vue le challenge STAR, et mon objectif de dépasser mon score du précédent, j’ai décidé de changer mon fusil d’épaule. Je vais donc faire une entorse à ma PAL d’octobre et emmener dans mes bagages, de tout petits livres qui peuvent se lire en peu de temps. Voici ma sélection :

De gauche à droite :

Le réveillon d’un jeune tsar de Léon Tolstoï (qui comprend en fait 4 contes) : 83 pages.

Le Cabochon d’émeraude de Maurice Leblanc (qui comprend également une autre nouvelle) : 93 pages

Le Réfectoire un soir et une piscine sous la pluie de Yoko Ogawa (qui comprend également une autre nouvelle) : 106 pages

Les Lettres d’Edith Wharton : 92 pages

L’oeil du loup de Daniel Pennac : 93 pages (qui sera certainement lu aux enfants le soir)

Ce qui ne fait pas moins de 467 pages. Je ne dis pas que je les lirai tous, mais devant utiliser le peu de temps que j’aurai de disponible, je me suis dit que lire une nouvelle chaque soir serait possible. Le récit de Pennac devrait intéresser les 3 loustics dont j’aurais  la charge, et peut être un moment de lecture agréable en fin de journée.

Ces courts récits me demanderont moins de concentration que la lecture d’un seul roman dans lequel il faut sans cesse reprendre ses marques pour avancer. J’abandonne donc,l’espace d’une semaine, ma lecture du roman de Daphné du Maurier pour mieux y revenir en deuxième semaine.

Dimanche 21 Octobre 2012 – 21h23

Manque de temps en ce moment pour le blog et pour la lecture. J’essaie toujours de maintenir ma lecture du matin, mais mes lectures de l’après-midi ne sont plus possibles. Du coup ma PAL d’octobre n’a guère baissé.

En plus de l’objectif PAL Noire, le challenge STAR de Liyah a repris du service depuis le 20. Un challenge qui me motive toujours autant, et me pousse à aller me coucher tôt pour lire au lieu de traîner devant l’ordi ou la télé. J’ai commencé hier Penelope Green : l’éventail de Madame Li de Béatrice Bottet. J’aime beaucoup cette série et j’ai lu avec plaisir les deux précédents tomes, c’est donc un plaisir de retrouver cette héroïne et son ami Cyprien.

Je sais qu’un roman jeunesse va me permettre de retrouver un rythme après avoir passé un peu trop de temps sur Du bout des doigts de Sarah Waters. En ce moment, j’ai surtout envie de livres qui se lisent vite et bien.

Mardi 9 Octobre 2012 – 19h31

Encore un jour bien gris, propice à se remettre sous la couette bien vite.

J’ai terminé en fin de matinée le roman de Fermine, sans grande conviction. La fin m’a fait l’effet d’un pavé dans la mare, mon avis (à paraître demain sur mon blog) risque donc de n’être guère élogieux. J’ai hâte que nous échangions nos avis dimanche au Club des Lectrices. Certaines ont aimé d’autres, beaucoup moins, les conversations seront sans doute très intéressantes.

Avec cette lecture j’ai donc déjà sorti un livre de PAL Noire ce mois-ci.

Je continue toujours ma lecture de Du bout des doigts, le matin au réveil et le soir avant de dormir. J’avance, je savoure.

Lundi 8 Octobre – 15h46

Il pleut… Alors je lis, en compagnie d’Alfred qui s’est blotti sur le dossier du canapé. Je me suis fait un petit thé, parce que l’automne est décidément bien là, et qu’il fait bon de se réchauffer.

Dimanche prochain, le Club des lectrices est de retour, et pour l’occasion nous devons lire Le Labyrinthe du temps de Maxence Fermine. Pour ne pas interrompre ma lecture du roman de Sarah Waters, j’ai décidé de lire le Fermine en parallèle, dans la journée. Je viens donc de lire une centaine de pages en une heure. Ces romans font, tous les deux, partie de ma PAL Noire. L’Objectif PAL Noire bat donc son plein, en ce début d’octobre.

Ma lecture de Du bout des doigts n’a pas beaucoup avancé ce week-end, bien qu’il soit toujours aussi prenante.

Le Labyrinthe du temps, se lit vite, une lecture assez agréable et fluide pour l’instant, même si je ne ressens pas de réel enthousiasme.

Dimanche 7 Octobre 2012 – 18h03

Un petit billet réflexion aujourd’hui.

Suite à la lecture d’un billet chez Saxaoul qui regrettait que certains billets de blog en disaient trop sur les romans et donc dévoilaient des faits qu’il aurait fallu tenir secrets pour que le roman garde un certain mystère pour les futurs lecteurs, je me suis interrogée sur ma façon de faire mes billets. Je suis comme tout le monde, je n’aime pas que l’on me raconte le livre avant que je ne le lise. J’ai envie d’en savoir suffisamment pour qu’il me fasse envie, mais pas trop pour me laisser le plaisir de la découverte. Ce point de vue est celui de la lectrice de blog.

Mais mon avis de blogueuse est un peu différent. Tout dépend en fait de ce que l’on veut faire de son blog. Au-delà de présenter les livres que je lis, ce que j’aime faire dans mes billets c’est analyser le roman. Chercher les thèmes importants, trouver une symbolique, en sonder la profondeur. Alors parfois il m’arrive d’en dire peut-être un peu trop. Certains blogueurs annoncent la couleur par un gros spoiler qui clignote et prévient ainsi que ce qui va suivre va révéler quelques éléments de l’intrigue. Quand le roman est basé sur une intrigue policière ou d’aventure, il est évident que c’est très gênant pour le lecteur de connaître à l’avance un rebondissement minutieusement concocté par l’auteur (c’est notamment le cas pour Du bout des doigts que je suis en train de lire)

Cette question va aussi plus loin puisqu’il met en rapport : la volonté de parler d’un livre pour telle ou telle raison, donner son avis sur le livre dans son intégralité, et le souhait de donner envie aux autres de le lire. Et cette question frôle du même coup une autre problématique : nos blogs sont-ils avant tout des avis de lecture à but non lucratif (si je puis dire) ou se rapprochent-ils dans leur fond des critiques professionnelles dont le but est plus « mercantile », ou si l’on veut, est de faire lire le livre et donc accessoirement, pour les critiques, de faire acheter le livre ? Bien sûr, le blogueur ne gagne rien à faire lire un livre, sauf évidemment le plaisir d’avoir donné à d’autres l’envie de le lire à leur tour. Il n’a donc pas les contraintes du critique pro. Mais le risque est aussi de faire un simple descriptif avec un avis assez généralisant. Le tout est donc de trouver la juste mesure, ce qui, je le reconnais volontiers, n’est pas le plus facile, et objectif que je tente toujours d’atteindre.

Je n’ai donc pas vraiment la solution, car à chaque nouveau billet la question se pose : qu’en dire sans trop en dire ? Comment parler de tel ressenti, sans dévoiler plus qu’il n’en faut ?

Je sais que certains blogs optent délibérément pour parler du livre dans son intégralité en faisant fi des futurs lecteurs, mais la majorité des blogs optent pour cette entre-deux si difficile à atteindre. Car, je le reconnais, il m’est parfois arrivé de ne pas parler d’un élément du livre parce que cela aurait entraîné de dévoiler une partie de l’intrigue. Reste à savoir comment je m’arrange avec cela. Il m’arrive souvent, dans ce cas, de le regretter, mais je me dis qu’il serait dommage pour les lecteurs d’être au courant de tel fait avant de lire le roman. Et puis il y a certains romans pour lesquels si je ne parle pas de tel fait, je n’aurais rien à dire du livre, donc je lève le voile un peu plus haut. Et là ce sont les lecteurs du blog qui peuvent le regretter.

Je suis donc face à un réel dilemme.

Vendredi 5 Octobre 2012 – 18h48

Depuis hier, je suis donc plongée dans Du bout des doigts de Sarah Waters, et je me régale. Il fait partie de ces livres que l’on a envie d’emporter partout avec soi pour profiter de  la moindre minute disponible. Dès que je me replonge dans ma lecture j’ai l’impression de réintégrer un autre temps. Comme un film que l’on aurait mis sur pause, puis dont on continue le visionnage. Les personnages et l’atmosphère dans laquelle se déroule l’intrigue ressurgissent presque spontanément, et on oublie alors ce qui nous entoure. Mon marque-page se promène donc gentiment : 200 pages en deux jours, ce qui est pour moi un bon rythme.

Et dire que ce roman était dans ma PAL depuis 3 ans !

Ce midi j’ai reçu un livre que l’éditeur m’avait proposé en SP, comme il avait pour titre : Génération blogueuses, j’avais accepté de le recevoir.

Ce midi donc, je le reçois, le déballe et commence à le feuilleter : les premières pages sont consacrées à 50 blogs essentiellement de mode, de cuisine et de lifestyle. J’en connais quelques uns mais sans plus. Je m’étonne cependant que la couverture évoque des blogs dans plusieurs catégories : dont Lecture et que je n’en trouve aucun dans les présentations détaillées des 120 premières pages. Et puis à la fin je découvre un chapitre intitulé « Guide des blogs ». Je trouve enfin les catégories annoncées sur le bandeau du livre, quoique « Lecture » soit remplacé par « Les Blogs d’art et de culture ». Je parcours les listes d’URL des différents blogs, découvre celui de ma copine Hérisson… et soudain, je feuillette plus vite et tombe sur ça :

Mon sang n’a fait qu’un tour ! Mon blog y était ! Alors oui , il est un peu perdu au milieu des autres URL, mais c’est la première fois que mon blog est ainsi cité dans un ouvrage, et cela m’a fait très plaisir. En consultant les autres URL, et comme on peut le voir sur cette image, j’ai eu le plaisir de constater que le blog de quelques amies était également cité (Miss Alfie, Cryssilda, Aperto-libro, Madimado, Mango ou encore Leiloona). En tout une dizaine de blogs de lecture éparpillés dans cette catégorie culture un peu fourre-tout. Aucune de nous n’avait été prévenue, c’est moi-même qui, sur FB, ai annoncé la nouvelle aux copines.

Au-delà de voir son petit URL, le fait que mon blog soit cité dans ce livre a quelque chose d’un peu étrange, comme une reconnaissance partagée avec les autres blogs lecture que je suis de façon quotidienne. Alors bien sûr une dizaine de blogs lecture comparativement à la masse des blogs mode, shopping ou beauté, ce n’est vraiment pas grand chose. J’ai regretté que notre catégorie lecture ne soit pas plus représentée, mais sans doute cela viendra. La lecture parviendra-t-elle un jour à supplanter un jour les blogs mode ? Telle est la question. Plus encore, je regrette une fois de plus que l’image de la blogueuse soit sempiternellement associée à celle de la « modeuse », de la « cuisinière », de la « shoppeuse » ou encore de la blogueuse Beauté. On reste toujours dans les mêmes créneaux de la féminité, même si le Guide ouvre un peu les perceptives. Pourquoi l’annonce du bandeau n’est-il pas effectif à l’intérieur du livre ? Et pourquoi les blogs généralistes ne sont pas annoncés en Une ? Telles sont les questions qui me taraudent.

Mais je ne boude pas mon plaisir.

Jeudi 4 Octobre 2012 – 8h32

Il pleut à verse. J’entends le vent dans les arbres et les gouttes qui s’écrasent contre les vasistas et sur les dalles du jardin. Les chats veulent sortir, mais reviennent bien vite au bercail, leur pelage tout frais et tout mouillé. Ils ont l’air dépité, ils tournent en rond, me regardent avec l’air de dire : et maintenant on fait quoi ?

Et si on allait se recoucher, George ?

J’ai commencé, à peine effleuré hier, Du bout des doigts de Sarah Waters. Ce matin, entre 6h et 7h, j’ai continué ma lecture avec envie. Londres, XIXe, quartier Lant Street, le quartier des voleurs. Un autre siècle, un autre lieu.

Mardi 2 Octobre – 18h38

Je comptais lire Arsène en une après-midi, et cela fait deux jours que je le trimballe dans mon sac.

Je n’ai pas beaucoup lu aujourd’hui.J’ai peiné à rédiger mon bilan mensuel, et ensuite j’ai eu la folle idée de mettre ma PAL à jour, ce qui fut une très mauvaise idée. Elle a dépassé aujourd’hui la barre des 700, et pour la première fois j’ai senti comme un vent de panique me traverser. D’autant que je sais pertinemment qu’il me reste encore de ci delà des livres que je n’ai pas encore enregistrés. Je rêve d’un logiciel de libraire avec une douchette pour enregistrer mes livres, ce serait magique, et j’aurais l’impression de jouer à la libraire.

Donc pour tenter de me calmer, j’ai revu ma PAL d’octobre, en la disposant dans l’ordre de lecture. Oui, je sais que je me contredis d’un jour sur l’autre, mais le fait de les présenter dans l’ordre a calmé le vent de panique cité plus haut.

Le roman de Sarah Waters a donc pris la tête supplantant Penelope. Ce changement d’ordre est dû à un commentaire de Céline du Blog Bleu, et à son enthousiasme communicatif pour ce roman que nous avions prévu de lire en LCA ! Quand une blogueuse que j’apprécie (beaucoup) et dont souvent je partage les goûts se montre aussi enthousiaste pour un roman, j’ai alors une envie folle de le commencer dans l’heure.

Mais ne nous emballons pas. Il faut d’abord que je finisse Arsène (vu le programme TV de ce soir, la chose devrait être largement possible) et mon recueil de nouvelles canadiennes que je n’ai pas ouvert depuis trois jours.

Alternance de SP et de livres perso. Il manque Le Labyrinthe du Temps de Fermine que j’ai prêté à Miss Bouquinaix et qui devrait prendre place entre Penelope et Bramwell. Dans cette PAL se trouvent donc 3 romans issus de ma PAL Noire (Waters, Quignard et Fermine), plus un Agatha Christie pour avancer le Challenge Petit Bac d’Enna. J’arrive donc à 10 romans. J’espère pouvoir insérer d’autres romans perso, mais j’ai peur d’avoir encore plus gros yeux que gros ventre. Toutefois une chose qui pourrait me motiver est le retour du S.T.A.R. Liyah relance son défi de lecture mercredi et je compte bien atteindre les 3000 pages cette fois-ci.

A suivre…

Lundi 1er Octobre 2012 – 18h01

Comme prévu, j’ai donc commencé Arsène cet après-midi. J’en ai lu, pour l’instant un peu plus de la moitié. En commençant la lecture de ce roman, j’ai également entamé un nouveau cahier de lecture, le 9e du nom depuis l’ouverture du blog. 

Pour moi, chaque changement de cahier est un peu symbolique, c’est un peu une nouvelle étape. N°8 fut un peu moins bien tenu que les précédents. J’ai délaissé le sommaire de la première page que je tenais pourtant régulièrement dans les précédents cahiers. J’ai aussi dérogé à ma règle « une page recto-verso par livre », ce qui fait que ce cahier a eu une vie plus longue et plus remplie (7 mois au lieu souvent de 5 en moyenne et 58 livres au lieu d’une quarantaine en moyenne).

Par contre je reste fidèle à mes petites manies : utilisation exclusive du crayon à papier – inscription obligatoire de la date de début et de fin de lecture – note des challenges dans lesquels le livre peut s’inscrire – en fin de lecture seulement inscrire le nombre de page et l’entourer. Sinon, pour ce qui est des notes en elles-mêmes c’est un peu l’anarchie comme vous pouvez le constater : écriture de chat – ratures à gogo – expression dans un français très approximatif – remarques abrégées que je dois être la seule à comprendre (et encore parfois en me relisant j’ignore totalement ce que je voulais dire!) etc. etc.

Je note généralement les noms des personnages et, de plus en plus, quelques étapes de l’intrigue, mais rien n’est véritablement rédigé. Je ne note pas de citations, juste les pages où elles se trouvent. Ce qui est absurde en soi mais compréhensif dans le besoin d’aller vite pour ne pas interrompre trop longtemps ma lecture. Car, il faut le reconnaître, je n’écris dans mes cahiers de lecture que quand je lis ! Il ne m’arrive en effet jamais d’écrire dans mes cahiers en dehors de mon moment de lecture. D’où l’absence quasi totale de rédaction. La rédaction, la mise en forme, tout cela, c’est pour le blog. Car le cahier est évidemment un support essentiel pour la rédaction des billets qui paraîtront sur le blog. Même si je n’utilise pas toutes les notes, si parfois je vais plus loin dans la réflexion, ces notes me permettent d’organiser ma pensée, et, comme elles ont été prises sur le vif, permettent également de ne rien oublier (bon, ça ce n’est pas encore totalement gagné!).

Je dis donc au revoir à N°8 et accueille avec plaisir N°9 :

Ah oui, une dernière chose. Tous mes cahiers de lecture ont exactement le même format. Il sont édités par Atomic Soda.Ce qui me déprime un peu c’est que je pense avoir presque acheté tous leurs modèles.