Vendredi 28 Septembre 2012 – 20h07

Je n’ai pas vu passer la semaine.

Depuis mon dernier billet, j’ai fini La recluse de Wildfell Hall, j’ai également lu un album jeunesse très original et aux illustrations très belles inspirées du XIXème, j’avais donc toujours un peu l’impression d’être restée dans l’univers d’Anne Brontë. Enfin, j’ai pioché dans ma pile des Rentrées Littéraires et ai lu La Vie de Régis de Sa Moreira, un roman qui fut vite lu et vite oublié, n’en subsiste que l’originalité narrative. Une semaine finalement assez productive.
Comme je l’avais dit dans un précédent bille, j’avais fait un petit tas de romans que je compte lire dans le mois. Ma PAL de lecture du mois de septembre a donc bien baissé.

Et comme le mois n’est pas encore totalement terminé, il me reste encore quelques jours pour lire :

Je découvre donc, avec grand plaisir l’univers de Lilian Jackson Braun grâce au challenge lancé par Sharon. Je suis ravie de cette lecture, pour l’instant tout me plait et je lis sans même m’apercevoir des pages qui se tournent. Je compte un peu sur ce week-end pour le finir. Il me restera alors un seul livre à lire de ma PAL de lecture pour le mois de septembre.

J’ai également, du même coup, fait une nouvelle PAL urgente pour le mois d’octobre. J’ai inséré, pour l’instant seulement deux livres hors SP, mais viendront s’ajouter les deux LCA prévues pour l’Objectif PAL Noire, ainsi qu’un roman biographique de Daphné Du Maurier sur le frère des Brontë, ainsi que Le Labyrinthe du temps de Fermine prévu pour le Club des Lectrices. Le mois d’octobre risque d’être chargé. La photo ci-dessous est donc incomplète, disons que c’est une base. Ah, et puis il va falloir vous retourner la tête pour voir les titres, comme le chat le Koko de Lilian Jackson Braun vous allez lire à l’envers !

L’ordre d’empilage n’est pas forcément l’ordre de lecture. Je me laisse quand même un peu de liberté, non mais.

Pour ce qui est des arrivages, les choses ne se sont pas tellement arrangées depuis la semaine dernière puisque j’ai reçu encore quatre livres. Deux du Cherche Midi dont mon blog est partenaire. Deux romans que j’ai choisis et que je suis très heureuse de pouvoir découvrir. J’ai entendu beaucoup de bien de Dans le jardin de la bête d’Erik Larson. Quant à Blood Hollow, il s’agira d’une découverte et, je l’espère, un thriller passionnant.
J’ai également reçu deux romans jeunesse : Nom de code Komiko, dans la nuit de Hong-Kong de Naomi Paul, premier tome d’une nouvelle série. Une héroîne qui semble avoir tout me plaire. Et le dernier tome d’une autre série Rose et le fantôme du miroir de Holly Webb. J’espère que je vais parvenir à me fondre dans un univers déjà installé, mais apparemment les tomes peuvent se lire indépendamment.

Je sais que tous ces livres peuvent donner le tournis, mais je suis dans un tel état euphorique, en ce moment, que je me sens prête à tout dévorer. Il me faut de la matière, des choses à me mettre sous la dent, et là, je crois que je suis servie.

Vendredi 21 Septembre 2012 – 19h50

Entre la nécessité médicale de rester au chaud chez moi, et la pluie incessante, j’en ai profité pour lire. Entre ma lecture du matin et celle de la fin de la matinée, j’ai mis un terme à Fille noire, fille blanche de Joyce Carol Oates. Une fin de lecture qui a filé, m’étonnant moi-même d’avoir tourné 70 pages en une demi-heure.

Ce fut une lecture magistrale qui m’a bluffée, et qui a encore confirmé mon grand intérêt pour cette auteure. C’est d’une telle richesse, d’une telle justesse, et écrit tellement bien. Cette lecture a donc ravivé mon envie de lire les 13 romans de Oates que renferme ma PAL.

Il me reste neuf jours pour venir à bout de ma PAL de septembre qui m’attend sur ma table de nuit. Des livres de la Rentrée Littéraire, des petits et des plus gros. Je vais reprendre ce système qui me permettra d’y voir plus clair, d’avoir un semblant d’organisation cherchant toujours à alterner lecture PAL Noire et SP de la Rentrée.

En attendant, je vais me consacrer à Anne Brontë, exclusivement. Je crois avoir un peu assouvi mon besoin de tout lire en même temps.

Jeudi 20 septembre 2012 – 21h09

Ce soir, je serai brève, j’ai la crève et je suis un peu patraque donc ! J’ai commencé et bien avancé dans Fille Blanche, fille Noire de Oates, un roman qui me tient en haleine. Décidément je crois que je ne suis jamais déçue avec Oates.

Ma crève me pousse vers le lit et donc vers la lecture, j’espère donc le finir pour samedi, comme prévu.

Sinon, depuis deux ou trois jours, j’ai reçu plusieurs romans de la rentrée, la pile grandit, et je sens que je commence à être un brin débordée mais en même temps très excitée dès que je découvre une grosse enveloppe dans ma BAL. Voici le fruit de mes récoltes :

Trois d’entre eux étaient attendus et l’un m’est parvenu sans demande, mais j’ai été heureuse de le recevoir car j’avais beaucoup apprécié un précédent roman de l’auteur.

Encore bien des lectures en perceptive, donc !

Jeudi 13 Septembre 2012 – 19h49 (suite…)

Un petit retour vite fait ici, ce soir.

J’ai mis à profit ma fin de matinée pour finir ma lecture du livre sur le théâtre d’Anne-Marie Desplat-Duc. Cette lecture fut un vrai plaisir et le fait de le finir rapidement m’a beaucoup motivée. Comme la lecture commune sur le roman d’Oates risque fortement d’être repoussée d’une semaine, je vais pouvoir me consacrer pleinement au roman d’Anne Brontë.

Je parlais ce matin des livres que je dois recevoir, or ce matin, alors que j’étais présente chez moi, j’ai découvert un avis de passage signalant un colis volumineux. Et là j’ai tempêté, oui parce que je commence sérieusement à saturer avec mon nouveau facteur. Plutôt d’actionner ma jolie clochette fraîchement installée, il a gribouillé son petit papier dont je ferais bien des confetti.

Et il a bien pris soin de ne pas noter son heure de passage, pas bête. Il y a quelques semaines déjà, il avait délibérément balancer un colis par dessus le portail, alors même que je sortais de la maison pour voir mon courrier. Je pense que demain je vais le guetter et lui dire ma façon de penser. Je veux bien que les facteurs aient des conditions de travail difficiles mais quand même, actionner une clochette prend moins de temps que de gribouiller sur un papier, papier qu’il faut sans doute extraire d’une poche ou de je ne sais où, et franchement balancer un colis par dessus un portail de 1m70, je trouve cela déplorable. Encore heureux que j’étais chez moi, sinon, imaginez qu’il pleuve, je n’ose penser à l’état des livres que le dit colis renfermait. Bref je suis en colère. Certes tout cela est dérisoire, mais les livres, c’est sacré, faut pas déconner avec ça.

Voilà c’était 3615 ma vie, mais c’est cela aussi un journal.

Jeudi 13 Septembre 2012 – 8h19

Le mot d’ordre ces derniers jours est éparpillement ou papillonnage. Depuis mardi, les lectures sont redevenues multiples. Je continues toujours celle du roman d’Anne Brontë, j’ai également commencé un recueil de nouvelles pour la Rentrée Littéraire, et hier, devant attendre mes enfants pendant leur cours de basket, j’ai choisi une lecture facile, car le contexte bruyant me l’imposait, et j’ai donc commencé Les Lumières du théâtre d’Anne-Marie Desplat-Duc.

Par là même, tout est commencé et rien n’est terminé.

Ce matin, j’ai continué ma lecture du livre sur le théâtre des Lumières, et je pense le finir aujourd’hui. Concernant les nouvelles de l’auteur canadien, Michael Christie, je pense lire une nouvelle un peu tous les jours, et poursuivre en parallèle la lecture du roman d’Anne. Mais il me reste toujours à commencer Fille Noire, Fille Blanche de Joyce Carol Oates. Donc, je papillonne, mue par une envie de lire, d’aller vite, d’avancer pour lire toujours plus.

Sur ma table de nuit, j’ai empilé les livres que je souhaite lire ce mois-ci. J’ai toujours l’ambition de lire deux romans de ma PAL Noire dans le mois, j’en ai déjà lu un avant le 15 du mois, le roman d’Anne sera le second. Comme je l’avais expliqué dans un précédent billet, j’ai divisé le mois en deux, j’ai déjà lu le roman de la première quinzaine (non encore achevée), ce qui me laisse donc du temps pour finir La Recluse. Quand j’aurais fini les trois en cours, il m’en restera 4 ou 5 pour la fin du mois, ce qui me paraît jouable, car certains sont très courts.

D’autres part, effet de la Rentrée Littéraire oblige, j’attends plusieurs livres de différentes maisons d’édition : 2 chez le Cherche Midi, 2 chez Belfond, 3 grâce aux Matchs lancés par Priceminister, plus quelques envoies de maisons d’édition plus confidentielles. J’ai également reçu le dernier Harlan Coben chez Fleuve Noir, ainsi qu’un premier roman très prometteur (L’agenda de Caroline Duffaud), sans oublier un roman jeunesse chez Casterman (Arsène de Juliette Arnaud), et un magnifique album dont je parlerai prochainement (oui, les albums ont l’avantage de se lire vite). Moi, qui espérais ne pas me laisser déborder, j’ai bien peur que je me sois un peu trop laissé aller, mais j’ai toujours un mal fou à résister à des livres dont le sujet me paraît intéressant et novateur. L’enjeu va donc être de lire ceux que j’ai déjà reçu avant la réception des nouveaux. Me voilà donc avec un agenda de ministre, mais au lieu de me saper le moral, cette perceptive m’enthousiasme.

Lundi 10 Septembre 2012 – 18h46

Depuis ce week-end, je suis donc plongée dans le roman d’Anne Brontë, La Recluse de Wildfell Hall. Très vite l’histoire m’a saisie, les personnages, le mystère ambiant autour de Helen Graham, tout est fait pour me plaire, jusqu’au style, et je me sens renaître, je renoue avec de vraies joies de lectrice, comme au temps où j’enchaînais les romans de Wilkie Collins.

Je n’ai cependant pas tellement avancé, car j’ai consacré mon dimanche à un autre livre que je souhaitais lire depuis que je l’ai découvert cet été.

Mon marque-page avance donc doucement, d’autant que je n’ai pas utilisé mon heure supplémentaire du matin aujourd’hui, l’ayant consacrée à l’écriture d’un billet sur le blog de lecture. A peine donc une centaine de pages tournées, mais l’envie de lire décuplée.

Dimanche après-midi donc, je me suis réfugiée dans ma chambre pour enfin ouvrir et finalement lire dans son intégralité un ouvrage très illustré sur Marilyn Monroe. En un peu plus de 250 pages, ce livre propose une biographie rapide, allant à l’essentiel, de l’actrice. J’en parlerai plus longuement sur mon blog demain :

Ma décision de lire le roman d’Anne Brontë risque cependant d’être contrecarrée par une lecture commune prévue entre Lili Galipette, Miss Bouquinaix et moi pour le 21. Pour ce mois-ci nous avions choisi Fille Noire, Fille Blanche de Joyce Carol Oates. Ce roman est dans ma PAL depuis longtemps, mais ne fait pas partie de ma PAL Noire. J’avoue que je n’ai pas bien envie d’abandonner Helen et Gilbert, il est donc fort probable que je mène ces deux lectures en parallèle, l’une le matin, l’autre le soir et éventuellement l’après-midi selon ma disponibilité.

Dimanche 9 Septembre 2012 – 8h58

Hier soir, j’ai donc commencé ma lecture de La Dame du manoir de Wildfell Hall d’Anne Brontë (Editions Archipoche). Comme je le signalais dans mon billet d’hier, je possède ce roman depuis plus de trois ans dans une autre édition (Phébus), au titre différent : La Recluse de Wildfell Hall. J’avais déjà parlé en son temps de ces changements de titres selon les éditions. Le tire original du roman est : The Tenant of Wildfell Hall. Or « the tenant » signifie exactement « la locataire ».

En commençant la lecture du roman dans l’édition poche, j’ai été un peu surprise de l’entrée en matière : « Remontons, si tu le veux bien, à l’automne 1827. » (p.15), et la fin du chapitre m’a laissé penser qu’il y avait un petit souci : « Ton fidèle Gilbert Markham ». Il s’agissait donc d’une lettre dont, visiblement il manquait le début. Je suis donc allé déterrer mon exemplaire Phébus, et j’ai beaucoup mieux compris.

En effet dans l’édition Phébus, non seulement figure une préface écrite par Anne Brontë, sous son pseudonyme Acton Bell, et datant du 22 juillet 1848, mais on peut y lire également le début de la lettre qui explique la confession de Gilbert à son ami J. Halford. Il semblerait donc que les deux éditions ne s’appuient pas sur le même texte originel.

Poursuivant mes recherches, et cherchant à comprendre cette différence, j’ai lu la note de l’éditeur chez Phébus. Et voilà ce que j’ai lu :

En 1854 paraît chez Thomas Hogson une nouvelle édition bon marché de La Recluse, version malheureusement lourdement expurgée – et expurgée bien sûr de ses éléments les plus scandaleux. Il n’existe plus aucune trace du manuscrit original d’Anne Brontë, et c’est cette édition qui deviendra, jusqu’à une date récente, la base de toutes les éditions anglaises, et partant, des traductions.

La version que nous vous présentons ici, publiée en France en 1947 sous le titre La Recluse de Haworth, a donc été complètès des éléments manquants à partir de la version « originale » de 1848. [pp.7/8]

Au contraire, dans l’édition Archipoche, aucune indication sur le choix du texte de base, mais tout laisse penser que l’éditeur se soit appuyé sur la réédition de 1854, et non sur celle de 1848. A cette découverte, j’ai donc décidé de me fier à l’édition Phébus, que je trouve donc plus fidèle au texte de l’auteur. J’ai également été décidée par une mise en comparaison des traductions, comparaison qui m’a permis de voir les différences, certes minimes mais…

Cette petite mésaventure reste cependant intéressante, car elle prouve à quel point un éditeur d’œuvres en langue étrangère (donc nécessitant une traduction) et anciennes doit veiller à choisir une version la plus proche possible de l’originale, et doit aussi se méfier des remaniements qui ont pu peser sur cette version à une époque où certains sujets étaient quelque peu shocking et revue pour la bienséance.

Il est effectivement tout à fait louable aux éditions Archipoche de rendre accessible dans ce format, des romans qui sont souvent difficiles à trouver, mais c’est quand même bien dommage de ne pas respecter davantage le texte de l’auteur.

Samedi 8 Septembre 2012 – 18h58

Je suis dans une phase de lecture bof-bof et il faut que ça cesse. Les livres se succèdent mais ils ne me font aucun effet. Durant ma lecture je soupire sans cesse, je m’énerve, je me sens comme une personne affamée incapable de satisfaire sa faim. J’ai envie d’une lecture qui me donne envie, qui m’emporte, qui m’enthousiasme, sur laquelle j’aurais des tonnes de choses à dire, à disséquer, je suis en manque de densité, de profondeur, de réflexion.

Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel m’a laissé de marbre. Ce journal intime est d’une platitude désespérante. J’ai vraiment du mal, je crois avec le style de mes contemporains. Quand tout est dit dans une phrase, quand il n’y a rien à creuser, rien à se mettre sous la dent, rien qui m’entraine à la réflexion, je me dis à quoi bon avoir écrit cela ? Je sais que j’ai une certaine exigence, que j’en attends sans doute trop, mais quand même, à ce point. Quand je suis si déçue par un livre, j’essaie de lire les avis des autres, mais je n’arrive pas à être d’accord avec eux. On pourra dire que je me braque, on n’aura pas forcément tort.

Alors la seule solution est de trancher dans le vif, de revenir à du lourd, du sûr, du qui ne déçoit pas, ou pas pour les mêmes raisons. J’ai pris la décision d’insérer un nouveau roman de ma PAL Noire :

Pour tout dire, je possédais déjà ce roman depuis longtemps (dans une autre collection et avec un autre titre : La Recluse de Wildfell Hall), mais la sortie récente en poche a ravivé ma curiosité, et j’avoue aussi que le format y est pour quelque chose. Plus futilement, je trouve la couverture magnifique. Mais c’est important une couverture de livre, ce sont déjà les prémices de l’ambiance du roman, un appel. Et cette femme sublime ainsi peinte m’intrigue.

Oui, revenir à Anne Brontë, c’est revenir à mes premiers frissons littéraires, c’est revenir du côté des Hurle-vent, du côté du château de Thornfield dans Jane Eyre, c’est espérer.

Je vais le commencer, là, ce soir.

Vendredi 7 Septembre 2012 – 9h44

Je me suis réveillée en retard ce matin : 7h au lieu de 6, mais je ne me suis pas sentie frustrée, parce que je savais que je pourrais lire, récupérer mon heure de lecture matinale dès homme et enfants partis chacun à leur occupation. J’ai avalé un café à la table du petit déjeuner en leur compagnie, j’ai sorti les vêtements, coiffé les cheveux, ajusté les tenues, vérifié les cartables, fait des bisous, dit « travaillez bien et soyez sages », et je suis retournée me coucher emportant avec moi mon sempiternel petit-déjeuner.

Comme prévu, j’ai sorti de ma pile de livres, celle que je me suis constituée pour ce mois de septembre, un roman de la Rentrée Littéraire. Un roman qui ne fait même pas 200 pages, un roman sous forme de journal intime, et j’ai lu un peu plus d’une heure. Mon marque-page, ce matin, faisait du 100 pages à l’heure, facile, trop facile. Pas beaucoup d’intérêt dans cette lecture, si ce n’est, ici et là, quelques références à Virginia Woolf.

Je parviendrai peut-être à le finir dans la journée… J’aimerai rompre avec les lectures bof-bof qui se succèdent ces derniers temps, retrouver un livre qui me fasse réagir, en bien comme en mal, peut-être, mais qui provoque au moins une réaction.

Jeudi 6 Septembre 2012 – 13h et 18h33

Cette année, mes enfants étant inscrits dans la même école, sur le chemin du travail de mon mari, je me retrouve seule chez moi dès 8h. Cette confession personnelle, juste pour dire que cette petite heure gagnée, par rapport aux années précédentes, va me permettre de lire une heure de plus chaque matin. Jusqu’à maintenant je ne lisais que le matin à partir de 6h et jusqu’à 7h, avant le levé de ma famille, cette année, je pourrai retourner à ma lecture à 8h jusqu’à 8h30 ou 9h. J’ai donc expérimenté ce matin, cette petite heure gagnée et j’en ai profité pour mettre fin à ma lecture de Arlington Park.

(suite…)

Il me restait juste à vous donner une petite photo de ma fin de lecture, que voici :

Mon marque-page spécial Objectif PAL Noire va se reposer un peu avant de repartir vers un nouvel horizon !